vrijdag 2 april 2010
Retro...Place Morichar...90
LA FINALE DE LA COUPE: BAS LES MASQUES !
RIGOLE,PASCAL
Vendredi 17 août 1990
LA FINALE DE LA COUPE: BAS LES MASQUES!
Organisée par «Le Soir», la XXVIe Coupe de Belgique déroule ses fastes tout au long de la semaine prochaine à Morichar.
UN DOSSIER
de Pascal Rigole
En clôturant le championnat la veille de la phase finale de la Coupe de Belgique, les dirigeants de la Fédération ne pouvaient pas faire de plus beau cadeau à notre épreuve. En effet, tout étant dit en critérium, les comptes d'apothicaires, les échanges de politesses et autres salamalecs n'auront plus cours.
Cette année, il faudra tomber les masques, se découvrir, se vider les tripes pour accéder au stade ultime de cette fabuleuse compétition. C'est à l'huile de bras qu'il faudra remporter les quatorzes jeux nécessaires à l'obtention d'un ticket pour la grande finale. Ce sera la loi du plus fort. Enfin.
Huit équipes de l'élite, cinq de deuxième division et trois de nationale III, voilà l'effectif qui sera appelé à en découdre dès lundi prochain. Une première constatation s'impose: les «petits» ne sont que trois. Comme nous l'avons déjà expliqué précédemment, afin d'éviter un repêchage toujours injuste, il a fallu organiser un second tour qualificatif entre les formations de division III. Conclusion, des huits rescapés, cinq n'ont pu passer le dernier cap.
Si l'éthique sportive sort gagnante de ce nouveau règlement, l'esprit de la Coupe en pâtit. Car depuis l'introduction de ces équipes, nombreux furent les «grands méchants loups», qui se croyaient invincibles, à se casser les dents sur un «petit poucet». Il suffit de consulter le palmarès pour en être convaincu. Rappelons à cet effet, que la formation qui évolue dans une série inférieure à son adversaire, bénéficie à chaque jeu d'un «quinze» d'avance.
Mais que tout ceci ne vous incite pas au pessimisme, car si certaines poules éliminatoires paraissent déséquilibrées - ce qui arriverait moins si on ne disputait que la Coupe cette semaine-là - c'est toujours un régal que de venir vibrer aux exploits des Gossuin, Remy et autres Van Hasselt.
Et le public ne s'y trompe pas, lui qui vient chaque année célébrer en masse la grand-messe du jeu de balle. Aussi, nous ne pouvons que vous conseiller de venir communier toute la semaine au temple de la place Morichar.
Lundi: Tollembeek à l'aise?
Les formations du nord du pays seront en surreprésentation pour cette éliminatoire d'ouverture, puisqu'aux deux équipes rescapées de la division III Flandres, Opstal et Kastel, viendra s'adjoindre celle beaucoup plus prestigieuse de Tollembeek, l'honneur de la Wallonie reposant sur les seules épaules de Feluy. Nous pouvons dès lors supposer que la langue de Vondel sera l'idiome prédominant, ce lundi, sur les travées de la place Morichar.
Il va sans dire qu'à l'analyse du programme de la journée, et sans préjuger de la valeur des trois autres protagonistes, c'est un véritable tapis rouge vers la finale qu'a déroulé, pour Tollembeek, le tirage au sort.
En lutte d'ouverture, les nouveaux champions de Belgique seront opposés à Opstal Buggenhout, le club d'où est originaire Luc Vermeer, le grand milieu des «Lustige Balspelers». Blottis dans le ventre mou du classement de leur division, les Flandriens n'espèrent pas grand chose de leur affrontement avec l'ogre du Markedal. Tout au plus, tenteront-il de sauver l'honneur et de sortir la tête haute. D'ailleurs, M. De Vlieger, leur président, avoue sans honte que le fait d'être arrivé à Morichar est déjà, en soi, un petit exploit, et c'est bien là notre avis aussi.
Si Opstal ne recèle en son sein aucun «nom» du jeu de balle, il en va tout autrement pour Tollembeek. L'équipe possède en Marc Van Snick, actuel détenteur du «Gant d'Or», un véritable monu ment, entré vivant dans la légende grâce à ce septième titre de champion de Belgique qu'il vient de s'approprier avec son club. L'autre «star» est sans conteste Philippe Gossuin. Redoutable frappeur, livreur de génie et contre-rechasseur hors pair, le jeune gaucher de Vaudignies est un des maîtres-atouts des Brabançons. De ce talent à l'état brut, qu'il acquit en 1989 à Rebaix, Edgard Desmecht a façonné un joueur de balle accompli, appelé aux plus hautes destinées. Cette année plus que jamais, Tollembeek c'est du solide.
La seconde partie de la journée risque d'être plus équilibrée que la précédente. En effet, Kastel, leader autoritaire en Flandres, pourrait bien tirer avantage de son «quinze» d'avance face à Feluy. De fait, les Centraux n'ont peut-être pas fait une si bonne opération en héritant de cet adversaire très ambitieux. Mais le président Bauduin pourra compter sur deux «vieux briscards» qui ont pour nom Pierre Miroir et Hervé Seconde. Si le second est raisonnablement aligné en devanture, le premier, fidèle à sa réputation, occupe sans sourciller la mouche depuis le début de la compétition. En leur compagnie, vous retrouverez une escouade de jeunes dont Thierry Seconde, le fils de l'autre, très prometteur au pivot. Allier l'expérience à la fougue de la jeunesse, voilà peut-être la clé de la réussite pour les Feluisiens.
Notre favori: Tollembeek
Notre outsider: Feluy
Jeudi: le jour de toutes les incertitudes
Enfin une journée sans super-favori! Ce n'est pas que ça lasse, mais de temps en temps un peu de suspense au programme ne fait pas de tort. En présence ce jeudi, trois représentants de l'élite et un de son antichambre. Certes, aux côtés de Lodelinsart et de Meerbeke, deux membres du tour final de division I, on retrouve Brussegem, qui est loin d'être un foudre de guerre et Braine-Rebecq dont la situation est dramatique. Mais, ne dit-on pas que la coupe transcende les plus modestes et les plus démunis?
En guise d'apéritif, donc, vous aurez droit à un duel opposant les banlieusards bruxellois aux Carolos de Lodelinsart. Les faveurs du pronostic iront aux Hennuyers. Toutefois, ces derniers devront éviter de retomber dans leurs errements du début de saison qui faillirent leur coûter cette sixième place tant convoitée.
Mais actuellement, tout semble tourner pour le mieux. Eric Van Nuffelen tient la toute grande forme - concrétisée par le prix du «Turco» au Tilburck alors qu'il n'avait joué qu'une seule lutte - et sa complémentarité avec Claude Debruyne ne fait plus de problèmes. De son côté, l'ex-Hallois a enfin trouvé ses marques au grand-milieu, un poste qu'il avait déserté pendant plusieurs années. Entourant ce duo, on trouve Charmant, le «roué», ainsi que les deux maîtres-livreurs Vanderbeck et Michez. Avec ce quintette, Jean-Marie Toegaert peut entretenir les plus grands espoirs.
De l'espoir au désespoir, le chemin n'est pas toujours long. Demandez-le donc à Guy Brison. Le président brainois est en train de vivre la saison la plus sombre de sa longue carrière. Condamnée d'avance par tout le monde, son équipe avait réalisé un début de parcours qui ne laissait en rien présager des catastrophes futures. Et puis, le ressort se cassa et Braine-Rebecq commença à s'enfoncer irrémédiablement dans les profondeurs du classement pour atteindre le dernier échelon, celui de la relégation.
Alors, que pouvons nous attendre, ce jeudi, d'une formation - qui récupérera peut-être Didier Brison, son capitaine courageux, in-extremis - à la dérive, si ce n'est un sursaut d'orgueil. Et nous savons que certains joueurs n'en manquent pas au sein du team hennuyer. A eux de prouver qu'ils étaient quand même dignes de l'élite.
Et ce ne sera pas facile, car en face d'eux, ils trouveront la bande à Bellemans. Promu l'an dernier, Meerbeke n'a pas traîné en route pour rejoindre les formations les plus huppées du gotha ballant. Avec comme arguments une grande frappe hennuyère composée de Demil et Dramaix, et un duo redoutable Vinck (l'une des grandes révélations de la saison)-De Nauw, le tout mis en musique par Georges l'ancien, les Flandriens se posent en candidats plus que sérieux pour la finale.
Notre favori: Lodelinsart.
Notre outsider: Meerbeke.
Mercredi: Welar vers une huitième finale?
Welar ne sera pas encore champion cette année. Pourtant, cette fois-ci, on y croyait dur comme fer du côté de la place Jean Delhaye, à Wannebecq. Avec le transfert de Marcel Dufour, on n'avait vraiment rien laissé au hasard. Mais voilà, par un chaud dimanche après midi de juillet, toutes les illusions se sont envolées pour une question de centimètres. La déception fut cruelle pour tous: supporters, joueurs et dirigeants. Cependant, la vie continue et de nouveaux défis se présentent aux Hennuyers, telle la Coupe de Belgique.
Et justement, on ne peut pas dire que Welar n'ait pas été gâté par le tirage de l'épreuve. En éliminatoire, les Lessinois affronteront Virginal, troisième et dernier représentant de la division III. Malgré le «quinze» d'avance, les Brabançons - qui jouent la tête en... Hainaut! - ne se bercent guère d'illusions face à ce monstre sacré. Pour le président Bontet, prendre trois ou quatre jeux serait un objectif plus que raisonnable.
C'est un fait que lorsque les «Mauves» se mettent à jouer, rien ne leur résiste. Leurs points forts? Un tamis à faire saliver d'envie pas mal de sociétés du royaume, avec José Leleux et Christian Jacquard, abonnés aux services entre les perches, et un Pascal Masquelier redoutable de précison et de puissance; un rectangle au sein duquel on retrouve Denis Remy, futur lauréat du «Gant d'Or» et spécialiste des contre-rechas en l'air. Leurs points faibles? Un moral fragile et une certaine propension à la déconcentration.
Quant à la seconde lutte du jour, elle sera sans doute du même tonneau. Bien mal en point, assis sur un des deux sièges éjectables de l'antichambre de l'élite, Coquiane ne semble pas avoir les moyens physiques, ni les ressources morales pour s'imposer à Ninove.
Et pourtant, les Flandriens sont loin de jouer les terreurs cette saison. Pointés parmi les favoris à l'aube du présent exercice, ils ont déçu leurs plus ardents supporters par un parcours indigne de leur statut. La seule bouée de secours qui se présente à eux est donc bel et bien cette phase finale de la Coupe de Belgique, pour laquelle, rappelons-le, ils se sont qualifiés au décompte des «quinze» face à Courcelles, après que deux 15-14 aient sanctionné leurs affrontements.
Handicapés par l'absence de Lemmens, qui a définitivement claqué la porte, la longueur de leur parcours dans cette édition 1990 dépendra surtout de l'état de forme de leur foncier et Patrick De Jonge, aussi doué que fantasque, ainsi que de la régularité de Pierre Denis, qui fut loin de reproduire ses prestations encourageantes de la saison dernière. Au rayon des satisfactions, nous retrouvons un Philippe Sanzot qui n'avait plus été à pareille fête au grand milieu depuis longtemps.
Notre favori: Welar.
Notre outsider: Ninove.
Vendredi: quelqu'un pourra-t-il, cette fois, arrêter Buizingen?
Oui, en effet, qui arrêtera cette équipe de Buizingen qui, au fil de ces dernières années, a fait de la Coupe de Belgique une de ses spécialités? Dame! Quatre victoires en cinq ans, voilà un palmarès plus qu'éloquent.
A l'instar de ses deux grands rivaux, la formation chère à Georges Van Hasselt a été ménagée par le sort. Très vite écartés de la course au titre, les Hallois mettront certainement tout en oeuvre pour conserver ce trophée con quis, l'an dernier, aux dépens de Welar.
Toutefois, l'ensemble n'est plus aussi impressionnant que les années précédentes. Le remplacement de Debruyne par Raguet ne fut pas des plus heureux, tandis que Marc Van Hasselt a souffert de quelques problèmes musculaires qui entâchent ses prestations. C'est pourquoi nous ne condamnerons pas Crupet d'avance. D'autant plus que les Namurois ont quelques arguments à faire valoir.
Certes, leur parcours en critérium fut bien modeste. Mais ils se sont magnifiquement rattrapés en Coupe aux dépens d'Horrues. Leur force réside surtout dans le trio de frappe composé par Tourneur, Monmart et Didion. Si ces trois gaillards sont dans un bon jour, ils pourraient bien, le «quinze» d'avance aidant, créer une belle surprise.
L'affirmation est aussi valable pour Ham-sur-Heure. C'est que cette jeune formation carolorégienne a réussi un excellent championnat en parvenant à se hisser parmi les six premiers de deuxième division. Toute l'équipe tourne autour de l'axe composé par Pierre Demoulin et Etienne Troussard.
Le premier est un pur produit du club. Depuis deux ans déjà, son talent ne cesse de s'affirmer et il est devenu le titulaire indiscutable au poste de grand-milieu. Quant au second, il est arrivé l'année de la relégation, après une saison en demi-teinte avec Braine. En deux ans de temps, ce jeune foncier a pu ainsi parfaire son apprentissage sans avoir à subir la pression qui pèse sur la plupart des joueurs de l'élite.
Les Biévènois ont donc tout intérêt à se méfier de cet adversaire, eux qui, à l'aube de cette saison, se voyaient mal relégués à l'étage inférieur. Mais la réalité est bien cruelle, et trois ans après avoir été promus, deux après avoir été champions, les voilà renvoyés à la case départ, ou presque. Nous ne reviendrons pas sur les multiples causes de cet échec, nous les avons déjà citées à maintes repri ses par le passé.
Faut-il pour autant conclure que cette équipe est moribonde? Certes non, que du contraire. Il suffit de jeter un oeil sur les derniers résultats des Brabançons pour se rendre compte qu'ils ont déjà été en plus piteux état. Et vous pouvez être certains que des garçons comme Van Geersdaele, bien malchanceux cette année, et Paduart feront tout pour sortir la tête haute d'une saison catastrophique.
Notre favori: Buizingen
Notre outsider: Biévène
Le palmarès des finales
1965: Gosselies
Gilly (II) - Jurbise (II) 8-5
Gosselies - Jurbise (II) 8-5
Gosselies - Gilly (II) 8-2
1966: Gosselies
Gosselies - Châtelineau 8-1
Braine - Châtelineau 8-3
Gosselies - Braine 8-7
1967: Gosselies
Tourpes (III) - Namur (III) 8-5
Gosselies - Namur (III) 8-3
Gosselies - Tourpes (III) 8-1
1968: Braine
Braine - Buizingen 8-7
Fleurus - Buizingen 8-5
Braine - Fleurus 8-5
1969: Gilly
Braine - Gosselies 8-2
Gilly - Gosselies 8-6
Gilly - Braine 8-6
1970: Fleurus (II)
Fleurus (II) - Nivelles 8-3
Nivelles - Braine 8-4
Fleurus (II) - Braine 8-2
1971: Chapelle-à-Wattines
Ch.-à-Wattines - Horrues (II) 8-5
Nivelles - Horrues (II) 8-4
Chap.-à-Wattines - Nivelles 8-3
1972: Pont-à-Celles
Pont-à-Celles - Lodelinsart 8-3
Ch.-à-Wattines - Lodelins. 8-5
Pt-à-Celles - Ch.-à-Wattines 8-5
1973: Tollembeek (II)
Wieze (II) - Gosselies (II) 8-6
Tollemb. (II) - Gosselies (II) 8-6
Tollembeek (II) - Wieze (II) 7-4
1974: Chapelle-à-Wattines
Gilly - Horrues 8-5
Horrues - Chap.-à-Wattines 8-5
Chapelle-à-Wattines - Gilly 8-3
1975: Braine
Nivelles - Gosselies (II) 7-0
Braine - Gosselies (II) 7-4
Braine - Nivelles 7-3
1976: Nivelles
Braine - Feluy (II) 7-5
Nivelles - Feluy (II) 7-2
Nivelles - Braine 7-4
1977: Pont-à-Celles
Meerbeke (II) - Feluy (II) 7-4
Pont-à-Celles - Ninove (II) 7-4
Pont-à-Celles - Meerbeke (II) 7-4
1978: Saint-Servais
Nivelles - Zandbergen (II) 7-4
St-Servais - Zandbergen (II) 7-2
Saint-Servais - Nivelles 7-6
1979: Meerbeke
Meerbeke - Buizingen (II) 7-5
Gembloux - Buizingen (II) 7-0
Meerbeke - Gembloux 7-6
1980: Ham-sur-Heure (III)
Ham/Heure (III) - St-Servais 7-4
Gembloux - Marcq (III) 7-3
Ham-sur-Heure (III) - Gembloux 7-2
1981: Saint-Servais
Nivelles - OEudeghien (II) 7-2
Saint-Servais - Welar (III) 7-3
Saint-Servais - Nivelles 7-3
1982: Welar (II)
Welar (II) - Ninove 7-5
Nivelles - Ottignies 7-4
Welar (II) - Nivelles 7-6
1983: Welar
Tollembeek - Buizingen 7-1
Welar - Ham-sur-Heure (II) 7-3
Welar - Tollembeek 7-3
1984: Tollembeek
Tollembeek - Welar 7-4
Ottignies - Virginal (III) 7-3
Tollembeek - Ottignies 7-3
1985: Buizingen
Buizingen - Thieulain (III) 7-3
Welar - Tollembeek 7-4
Buizingen - Welar 7-5
1986: Buizingen
Buizingen - Gembloux (II) 7-5
Feluy - Thieulain (III) 7-4
Buizingen - Feluy 7-1
1987: Tollembeek
Tollembeek - Marcq (III) 7-2
Biévène (II) - Meerbeke (II) 7-3
Tollembeek - Biévène (II) 7-4
1988: Buizingen
Welar - Welle (III) 7-1
Buizingen - Tourpes (III) 7-5
Buizingen - Welar 7-2
1989: Buizingen
Buizingen - Braine 7-1
Welar - Tollembeek 7-5
Buizingen - Welar 7-2
Le programme de la semaine
Lundi 20 août, à 14 h 30
OPSTAL (III Flandres) - TOLLEMBEEK (I)
Opstal: Frans Dierickx et Gert De Backer (ou Ferdi Houbroeck), Dirk Goossens, Franky Vermaechelen et Robby Seghers. Réserve: Ferdi Houbroeck (ou Gert De Backer).
Tollembeek: Eric Ruelle et Hans Derdelinckx, Philippe Gossuin, Luc Vermeer et Marc Van Snick. Réserve: Marc Lissens.
KASTEL (III Flandres) - FELUY (II)
Kastel: Jan Vanderstricht et Johan Vandaele, Rudy Wielandt, Herman Verminnen et Dany Van Duysen. Réserve: Hans Baert.
Feluy: Hervé Seconde et Philippe Clara, Thierry Seconde, Alain Parent et Pierre Miroir. Réserve: Philippe Bertrand.
Mercredi 22 août, à 14 h 30
VIRGINAL (III Hainaut) - WELAR (I)
Virginal: Alain Weverbergh et Alain Desmets, Eddy Degrève, Pascal Minet et Karel Pauwels. Réserve: Richard Flandroy.
Welar: José Leleux et Pascal Masquelier, Christian Jacquard, Marcel Dufour et Denis Remy. Réserve: Jean-Luc Plaitin.
NINOVE (I) - COQUIANE (II)
Ninove: Patrick Boulanger et Michel Leleux, Pierre Denis, Philippe Sanzot et Patrick De Jonge.
Coquiane: Olivier Thollembeek et Geert Vandervelde, Daniel Haesaerts, Peter Destrooper et Thierry Alexis. Réserve: Wilfried Godart.
Jeudi 23 août, à 14 h 30
LODELINSART (I) - BRUSSEGEM (II)
Lodelinsart: Jean-Marc Vanderbeck et André Michez, Armand Charmant, Claude Debruyne et Eric Van Nuffelen. Réserve: Philippe Gall.
Brussegem: Yves Felix et Marc Duyck, Guy Declèves, Rudy Declercq et Gunther Van Den Berghe. Réserve: Gunther Cami.
BRAINE-REBECQ (I) - MEERBEKE (I)
Braine-Rebecq: Didier Brison (?) et Guy Leturcq, Rudy Deridder, Gaëtan Lecocq et Pascal Demuylder. Réserve: Eddy Tabourdon.
Meerbeke: Georges Bellemans et Eric De Nauw (ou Eric De Len), Geert Vinck, André Dramaix et Philippe Demil. Réserve: Eric De Len (ou Eric De Nauw).
Vendredi 24 août, à 14 h 30
CRUPET (II) - BUIZINGEN (I)
Crupet: Eddy Ancelain et Thierry Laloux, Yvan Tourneur, Philippe Monmart et Yves Didion. Réserve: Marc Simon.
Buizingen: Jurgen Van Hemelrijck et Carl Lengelez, Guy Denis, Marc Van Hasselt et Rudy Raguet. Réserve: Jean-Pierre Van Paemel.
HAM-SUR-HEURE (II) - BIÉVÈNE (I)
Ham-sur-Heure: Guy Pollet et Vincent Lux, Eddy Mascaux, Pierre Demoulin et Etienne Troussard. Réserve: Hugues Sauvegarde.
Biévène: Stéphane Leybaert et Jean-Luc Marcelle, Stéphane Van Geersdaele, Denis Gaudisaubois et Philippe Paduart. Réserve: Dominique Van Hove ou Geert Lafourt.
Samedi 25 août, à 14 h 30
Finale
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